• L'Ecurie Vivaldi

    le meilleur moyen de s'initier à l'investissement Cheval

     

    Créée en 2017, l'Ecurie Vivaldi est club d'investissement qui prend des participations dans des chevaux de course de haut de gamme, à l'entraînement ainsi qu'à l'élevage.

    C'est une écurie de groupe conçue pour durer et pour rester toujours ouverte à de nouveaux entrants.

    Elle s'appuie sur un modèle original qui combine élevage, commerce et courses, en mutualisant, diversifiant et répartissant les investissements, afin de réduire les risques tout en maximisant le plaisir et les probabilités de gains.

     

    Comment rejoindre l'Ecurie Vivaldi ?

    Il existe deux façons de rejoindre l’aventure Vivaldi.
    On peut, au choix (mais les deux sont possibles conjointement) :
    1. Devenir actionnaire de l’Écurie Vivaldi avec un investissement minimum de 25.000 €
    qui permet d'entrer au capital en achetant 46 actions
    (période d'essai de trois mois gratuite possible sur option, avec une caution récupérable de 4.500 €)
    On profite alors de la gestion intégrée et de la mutualisation des risques sur tous les chevaux de l’Écurie.
    5. Prendre une part de 10% dans l'un des chevaux de l'Ecurie Vivaldi proposés à la syndication
    (prix d'une part : à partir de 3.500 € jusqu'à 30.000 € HT)

     

    Contact : Didier Krainc 06.83.73.75.75 ou didier.k@ecurie-vivaldi.club

  • Foire aux Questions

    FAQ

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     Qu'est-ce que l'Ecurie Vivaldi ?

    L'Écurie Vivaldi est un club d'investissement spécialisé dans les chevaux de courses de haut de gamme.

     

    C'est une écurie de groupe structurée sous la forme d'une SAS à capital variable, qui lui permet d'être à la fois pérenne, tournée vers le long terme, et toujours ouverte à de nouveaux entrants. Elle investit à la fois dans des chevaux à l'élevage (foals, yearlings, poulinières, étalons) et dans des chevaux à l'entraînement, donc de compétition.

     

    En ne prenant que des participations dans nos chevaux, associés avec les plus grands propriétaires, éleveurs et entraîneurs, nous
    répartissons nos risques et nous pouvons investir dans le "haut-de-gamme" malgré des moyens limités. 

     

    Nous nous appuyons sur un modèle original qui combine élevage, commerce et courses, en mutualisant, diversifiant et répartissant les investissements, afin de réduire les risques tout en maximisant le plaisir et les probabilités de gains.

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    Comment fonctionne l'investissement dans les chevaux de course ?

    Investir dans un cheval decourse, c'est investir dans du vivant, avec toutes les émotions et tous les aléas que cela comporte.

     

    Le champion que vous voyez remporter le Prix du Jockey-Club, c'est un jeune cheval à l'entraînement. Trois ans auparavant il est né dans un haras, issu d'une maman poulinière et d'un papa étalon, il a été foal la première année. Puis yearling ensuite. Il a éventuellement été vendu par son éleveur aux ventes de Deauville, puis il a été préparé, entraîné. Il a commencé à courir à deux ans.

     

    Plus tard, il retournera éventuellement au haras pour devenir à son tour étalon. Donc, pour le même animal, le même individu, il y a différentes classes d'actifs financiers, successivement au cours de sa vie.

     

    Chaque classe d'actif répond à des conditions d'investissement, de coût et de revenu potentiel différents. Le risque et la valorisation varient du tout au tout selon ces différentes classes d'actifs.

     

    C'est pourquoi l'Écurie Vivaldi a investi dans toutes les catégories. Pour se faire plaisir tout au long de l'année, bien sûr. Mais aussi pour répartir les risques sur différents types de produits et ainsi se constituer un portefeuille large et diversifié.

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    Quels sont les critères clés pour choisir un cheval dans lequel investir ?

    Il y a d'abord ses origines, son pedigree.

     

    Puis son modèle, c'est-à-dire sa conformation physique et sa façon de se déplacer.

     

    Enfin, sa personnalité, son charisme, ce qu'il dégage. Qui est un reflet de qu'on peut supposer être son mental d'athlète de haut niveau.

     

    Et puis enfin, son prix estimatif et ses espoirs de ROI (retour sur investissement) ; sa valeur résiduelle.

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    Quels sont les principaux risques associés à l'investissement dans les chevaux de course et comment peuvent-ils être atténués ?

    Ce sont d'abord les risques liés au vivant. L'animal est fragile, sensible, il peut tomber malade, se blesser.

     

    Il peut aussi perdre l'envie de courir si on ne respecte pas son mental.

     

    Il y a aussi les risques liés aux effets de mode. Certaines origines sont très recherchées certaines années, puis elles ne le sont plus l'année d'après.

     

    Pour limiter les risques, il est absolument nécessaire de placer le cheval dans un environnement ultra-professionnel : les meilleurs haras, les meilleurs vétérinaires, les meilleurs entraîneurs, les meilleurs jockeys, etc. Tout cela a un coût, mais c'est aussi la meilleure façon de garantir qu'on ne passera pas à côté d'un retour sur investissement potentiel.

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    Quel rendement peut-on espérer de ce type d'investissement ?

    Le retour sur investissement doit être mesuré dans sa globalité, en y incluant l'expérience qu'on en retire, pour soi-même et pour ses proches : le plaisir, la passion partagée, les rencontres, le réseau, les lieux magnifiques qu'on visite puis qu'on fréquente, les haras, les centres d'entraînement, les hippodromes, les fêtes entre associés et copropriétaires.

     

    D'autre part, les possibilités d'opérations de relations publiques sont nombreuses. L'Écurie Vivaldi est d'ailleurs considérée par ses actionnaires comme un "business-club" au sein duquel on conclut des affaires qui dépassent souvent le seul cadre hippique. Par ailleurs, le contact avec le Cheval en général et le Pur-Sang en particulier est magique, transcendant. La gestion du vivant est particulièrement instructive et gratifiante, elle donne du sens.

     

    Alors, oui, au global, pour toutes ces raisons, on gagne énormément, le ROI est incommensurable.

    D'un point de vue plus strictement financier, nous nous débrouillons pour qu'au sein de l’Écurie Vivaldi, bon an mal an, nous ne perdions pas ou peu. Nous nous appuyons pour cela de façon équilibrée sur les trois piliers du modèle économique de l’investissement cheval : l’élevage (vente de foals, de yearlings, de saillies, de parts d’étalons ou de poulinières, primes) ; les courses (les allocations en France sont particulièrement intéressantes grâce au PMU) et le commerce (achat-revente de chevaux à l’entraînement qu'on a valorisés).

    Les trois mots-clés sont donc : mutualisation ; diversification et répartition.

    Et puis de temps en temps, on peut tomber sur un cheval exceptionnel – et éventuellement gagner des millions, cela s'est vu, c'est possible. Le cheval qui a gagné l'Arc, l'année dernière, Ace
    Impact, a été syndiqué sur la base de 12 millions d'€ alors qu'il avait été acheté yearling aux ventes 75.000 € deux ans auparavant. Il est désormais
    étalon à 40.000 € la saillie et va donc rapporter environ 4 millions par an.

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    Y a-t-il des considérations fiscales ou réglementaires spécifiques à l'investissement dans les chevaux de course ?

    Il n'y a pas d'avantage fiscal spécifique. Mais pas de signe extérieur de richesse, non plus. Cela n'existe plus. Les gains en course sont exemptés d'impôts mais les plus-values sont taxées au taux habituel
     

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    Pouvez-vous partager des exemples de succès et d'échecs que vousavez connus avec les chevaux ? Quelles leçons les investisseurs peuvent-ils en
    tirer ?

    Nous avions acheté pour 60.000 € une part d'un étalon, Zarak, stationné chez l'Aga Khan au Haras de Bonneval. Trois ans plus tard, alors que la vente de ses saillies chaque année nous avait déjà remboursé notre investissement initial, Zarak est devenu un étalon très recherché et nous avons revendu notre part aux enchères sur Internet pour 370.000 €. Plus récemment, nous avons revendu un poulain de deux ans plus de 350.000 € aux Saoudiens. Nous l'avions payé 100.000 € yearling et il avait remporté trois courses pour un total de
    gains de 80.000 € pour nous. En revanche, nous avons refusé il y a deux ans une belle offre pour un cheval de trois ans qui s'est avéré très décevant. De la même façon, nous avons pris une petite part dans une pouliche très bien née, qui n'a jamais pu voir un champ de course et sur laquelle nous avons perdu la moitié de notre mise.

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    Quel conseil donneriez-vous à un investisseur qui voudrait selancer dans ce type d’investissement ?

    De rejoindre l'Écurie Vivaldi ! Elle est faite précisément pour accompagner les néophytes et il vaut mieux ne pas se lancer seul.

    L’Écurie Vivaldi est le meilleur moyen de s’initier à l’investissement cheval.

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